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(Extrait de Wikipédia dans Google)

L'idéalisme moderne

CONTRE LES CRIMES INSTITUTIONNALISES

          Comme il avait raison celui qui disait à peu près ainsi : « Vous tuez un homme, vous êtes un assassin. Vous en tuez 10 000, vous êtes un conquérant ! »     

     Pourquoi suffit-il de nommer : « guerre » des massacres de civils, de femmes, de vieillards et d’enfants, pour que les instigateurs de ces horreurs soient à l’abri dans leurs bureaux. Pire, après quelques années ils pourront trinquer ensemble et se recevoir avec de grandes accolades complices. Que sont pour eux ces familles ravagées par le chagrin qui ne cesseront jamais de pleurer la disparition d’êtres si chers, sinon de simples dommages collatéraux ?     

     Des dommages collatéraux qu’ils justifieront nécessaires pour la bonne marche de leur politique !       

     En ce moment nous assistons à un véritable génocide du peuple palestinien.

     Sur une petite langue de terre de quarante kilomètres de long sur dix kilomètres de large il y a un million cinq cents mille humains qui sont attaqués par les airs (les bombes des avions), par les terres (des chars) et par la mer (des canons sur les bateaux) sans aucune possibilité de fuite.

     Quelle tenaille glorieuse !

     Des mères désespérées serrent contre elles des enfants au regard terrorisé ! Des pères aux dents serrées sur la haine qui les étouffe, portent dans leurs bras des petits corps sans vie ! 

      Bien sur, bien sur, me répondront les Israéliens : « Et nous, les attaques intempestives du Ramas n’ont tué personne peut-être ? »        

     Je suis d’accord, les innocents quel que soit le côté de la frontière, restent des innocents. Et même si je suis persuadée que les lois israéliennes ont transformé les palestiniens en martyres, pour rester fidèle à mes premières lignes, nul ne devrait plus pouvoir, au vingt et unième siècle, régler ses problèmes par la guerre. Comment peut-on se venger sur d’autres hommes qui ne comprennent rien à la politique ? Au nom de quelle idéologie ? Où est la justice dans tout ça ? Ces mères et ces pères effondrés par la douleur, qu’ils soient palestiniens ou israéliens, ont-ils mérité ce désespoir ?      

     La guerre ne devrait plus être possible aujourd’hui, alors que des actions caritatives fleurissent dans le monde entier, que l’empathie s’impose dans toutes les religions ou philosophies…     

     Mais alors, me direz-vous, comment régler les conflits quand toutes les discussions ont échoué ?      

     Par la logique, par la justice. N’est-ce pas la moindre des choses que de se venger, si vengeance il doit y avoir, seulement et uniquement sur les responsables du malheur d’un peuple. Est-ce impossible à des kamikazes de bien cibler et de n’atteindre que les tortionnaires ? Puisque kamikazes il y a, acculés comme des fauves dans le malheur d’une vie condamnée au cauchemar par des lois insensées. Il n’y a pas plus redoutable qu’un homme qui n’a plus rien à perdre.         

     Enfin ne serait-il pas temps de créer un tribunal international composé de philosophes et de scientifiques, ni politiciens ni affairistes, qui décideraient comme les jurés lors d’un procès, du bien fondé d’une loi ou de la décision d’un gouvernement. En cas de désobéissance, ce tribunal appuyé par tous les pays de la terre, destituerait les grands chefs, quitte à les emprisonner.        

     Je sais, je sais, l’idée peut sembler naïve, mais elle est à creuser, à fignoler par des cerveaux plus au fait de la psychologie des gouvernements. Pourtant ce Comité d’Ethique Mondial serait le plus grand progrès de notre siècle, beaucoup plus utile que les « Serventàrien » de l’O N U.

       « La paix universelle se réalisera un jour non parce que les hommes deviendront meilleurs (il n’est pas permis de l’espérer), mais parce qu’un nouvel ordre de choses, une science nouvelle, de nouvelles nécessités économiques leur imposeront l’état pacifique. »

                                                       A.    France    (Sur la pierre blanche)

CHAPITRE 2

POUR LE TALENT DE L’EQUIPE D’ANIMATION

DU RYM BEACH

A DJERBA

  Les plus grands artistes ne passent pas tous à la télévision, je peux maintenant vous le jurer !

     Arrivée de Tunisie depuis quelques mois déjà, je garde encore la nostalgie de ces soirées éblouissantes que nous ont offertes les jeunes animateurs du Rym Beach Hôtel !

     Moi qui adore la danse, je ne savais pas que chaque spectacle me lèverait de ma chaise pour applaudir avec enthousiasme aux multiples facettes de ces danseurs hors norme, aussi bien acrobates incroyables de Hip Hop que troupe de claquettes digne des « Lord of the dance » !

     Et j’en passe… Des danses russes aux danses orientales…

     Comment n’ont-ils pas encore été contactés pour des soirées telles que « Le Grand Cabaret » de Patrick Sébastien ?

     Ah ! Si j’avais les moyens de sponsoriser leur troupe, si j’étais un sportif ou un chanteur milliardaire, je préférerais permettre l’épanouissement du talent plutôt que de planquer mon fric dans des Paradis fiscaux stériles !

     Malgré toute la gentillesse, le dévouement, la passion qu’ils apportent à leur  métier d’animateur, ils méritent de partir avec des tournées mondiales pour que le plus grand nombre de spectateurs profite de cette émotion qui vous envahit quand le génie s’impose !

En espérant qu’un mécène me lira et exaucera ma prière…

A HENRY QUINSON

                    « Qui est ce monsieur ? » vous demandez-vous.

   C’est un homme courageux qui n’a pas craint de bouleverser toute sa vie pour que celle-ci soit en accord avec ses nouvelles convictions.      Henry Quinson était trader… Oui, c’était un de ces hommes qui font des « affaires » en achetant des actions et en les revendant dès que le cours de la bourse leur permet de faire des bénéfices. Il jouait avec de l’argent virtuel, il enrichissait des banques et lui-même au mépris du travail des salariés qui ne sont que des pions à déplacer ou jeter pour faire monter la côte en bourse des entreprises. S’il avait continué ce métier il ferait partie de ces gens qui ont conduit, actuellement, l’économie de la planète vers la récession dont on parle tant.   

   Oui mais voilà, et c’est la raison de mon coup de chapeau, Monsieur Quinson, en 1989, avait tout compris. Cette spéculation immorale qui affame, en méprisant, les ¾ de la planète au profit d’une poignée d’hommes très riches et  vénaux, cette spéculation, ce métier l’avaient déjà écœuré. C’est pourquoi il abandonna tout et se retira dans un monastère en Savoie.   

  Devenu moine, il décida de venir en aide aux malheureux en créant la fraternité de Saint-Paul dans les quartiers nord de Marseille. Il a donné toute sa fortune à des associations caritatives et se trouve être le plus heureux des hommes en travaillant à mi-temps comme professeur d’anglais, avec 1 000 € par mois. Il passe le reste de son temps libre à donner des cours gratuits aux  enfants défavorisés et à se dévouer pour les plus démunis.   

   Ce trader n’a pas eu besoin d’attendre la crise démente qui nous frappe. En 1989 il avait déjà tout compris ! Et non seulement il avait su remettre en question les bases même de son éducation bourgeoise et de sa carrière, ce qui est déjà une preuve de grande honnêteté, mais il n’a pas hésité à tout abandonner pour que sa vie soit en accord avec ses convictions nouvelles.  

    Chapeau bas, Monsieur Quinson, pour votre intelligence et pour votre courage !

  « Peu d'êtres sont capables d'exprimer posément une opinion différente des préjugés de leur milieu. La plupart des êtres sont mêmes incapables d'arriver à formuler de telles opinions. »

EINSTEIN